Jeune créateur

Entreprendre en franchise quand on est jeune

On dit souvent que la valeur n’attend pas le nombre des années. Ce dicton se vérifie parfaitement dans le secteur de la franchise. Bon nombre d’exemples l’ont montré, comme celui d’Amel Mansouri et de Julien Raynal, jeunes franchisés dans le domaine de la garde d’enfants à domicile. Agés d’à peine 30 ans ils ont su convaincre leurs enseignes respectives et les banques, mais sont aussi parvenus à rendre viable leur entreprise en dépit de leur jeunesse et de leur inexpérience. Deux profils à découvrir absolument.

Etre jeune et choisir la franchise, un challenge gagnant

Après avoir débuté comme assistante maternelle chez Family Sphere, réseau d’agences dédié à la garde d’enfants puis endossé un poste aux ressources humaines de l’enseigne, Amel Mansouri a accepté la proposition qui lui était faite par la marque d’intégrer une agence franchisée dont elle est devenue directrice. Parfaitement en phase avec l’éthique et le mode de fonctionnement de ce réseau présent sur l’ensemble de la France, elle décide après deux ans, de prendre une franchise, convaincue par la notoriété d’un réseau leader, solide, de confiance, qui lui permettrait de se développer très rapidement. A l’heure actuelle Amel profite toujours de l’aide des animateurs de Family Sphere et de la solidarité entre franchisés pour consolider les bases déjà bien ancrées de son entreprise.

Le parcours de Julien Raynal, bien que différent, résume aussi l’engouement des jeunes pour le concept de franchise et les rapports entre franchisés. Juriste en droit social, plutôt axé sur les problématiques RH, Julien Raynal comptait déjà parmi ses clients Babychou Services, un autre réseau spécialiste du baby-sitting. Côtoyer le réseau tant au niveau de la tête que des franchisés et en apprécier aussi bien le savoir-faire, le fonctionnement que l’ambiance, ont convaincu Julien de sauter le pas pour rejoindre l’enseigne.

Un soutien et un accompagnement sans faille des jeunes entrepreneurs

Chacun sait combien le parcours d’un jeune entrepreneur peut être semé d’embûches. Livré à lui-même, il n’est pas à l’abri d’erreurs pouvant aller jusqu’à faire péricliter son affaire.

Etre bien accompagné et profiter d’une formation très structurée est donc essentiel quand l’expérience fait défaut. La franchise propose à ses candidats un accompagnement adapté après qu’ils aient acquis la certitude d’avoir fait le bon choix. Pour être certains que ce qui les attend soit conforme à ce qu’ils avaient imaginé, les futurs franchisés d’Easy Cash bénéficient de 15 jours (voire plus) en immersion dans un magasin de l’enseigne.

Joris Escott, Directeur d’Easy Cash, réseau spécialisé dans l’achat-vente d’occasion estime l’âge moyen des franchisés de l’enseigne aux environs de 45 ans. En même temps qu’elle accompagne les futurs retraités du réseau, la marque chaperonne les jeunes désireux de se lancer dans l’aventure à la recherche d’une franchise qui marche. On trouve parmi ces candidats, des personnes déjà employées dans les magasins et qui souhaitent évoluer mais aussi de jeunes entrepreneurs séduits par le côté cadré de la franchise qui leur permet d’apprendre plus vite en s’appuyant sur l’expérience des jeunes franchisés qui les ont précédés. La pyramide des âges du réseau, ainsi équilibrée représente un facteur clé pour la durabilité de l’enseigne.

Financer une franchise quand on est jeune

Si le dynamisme, l’enthousiasme et l’ambition comptent parmi les apanages de la jeunesse, il n’en est pas moins vrai que, lorsque l’on débute, l’apport financier fait souvent défaut. Difficile de disposer déjà d’un capital avant 30 ans ! Le problème du financement se pose alors pour beaucoup. C’est à ce moment précis que la franchise peut être intéressante avec des solutions adaptées aux candidats les plus jeunes avec par exemple chez Easy Cash des alternatives évolutives, le temps de réunir les fonds nécessaires.

Julien Raynal disposait d’un peu d’apport et a pu bénéficier du soutien des trois banques sollicitées. On note cependant d’autres exemples de jeunes au sein du réseau Babychou Services qui ont réussi à déployer leur entreprise sans aucun apport. Tout est possible quand on y croit et le meilleur argument pour persuader une banque est d’être soi-même foncièrement convaincu du bien fondé, du sérieux de son projet et de sa réussite. L’âge n’a de même pas été un problème pour Amel Mansouri qui a pu financer sa franchise sans difficulté. Armée d’un capital et du soutien d’un expert-comptable, elle a su facilement convaincre les banques du sérieux de son affaire.

De nombreux exemple comme celui de Julien et d’Amel montrent que la question de l’âge, dès lors qu’il existe un projet « qui tient la route », ne se pose plus.

Rester autonome en étant franchisé, c’est possible

Mais quid de l’autonomie, de la liberté dans tout cela ? Rester libre est souvent l’argument du jeunes entrepreneur animé d’une fougue et d’un enthousiasme compréhensibles. Le concept de franchise qui implique d’appliquer le savoir-faire et de « coller » à l’image de l’enseigne répond-il à ce besoin d’indépendance ? Selon Julien et Amel, franchisés indépendants, se conformer aux recommandations du franchiseur à l’expérience reconnue, n’empêche pas d’appliquer au quotidien des méthodes de travail qui seront propres à chaque franchisé. La valeur d’un candidat à la franchise ne se mesure pas aux années mais bien au goût d’entreprendre et de créer. Les enseignes franchisées l’ont bien compris et n’hésitent pas à faire confiance à de jeunes entrepreneurs de moins de 30 ans qui démontrent leur motivation et leur envie de s’impliquer dans un projet de création d’entreprise avec la marque.

Informations légales et données personnelles | Franchise Boulangerie | Franchise creche | Franchise service à la personne | Franchise informatique | Franchise Chocolat